︎ Bring me home
SOLEIL ROUGE
Une histoire du cinéma rebelle japonais



Auteur :
Stéphane du Mesnildot
Illustrations de couverture :
Gaspar Capac (éditions Biceps)
Design graphique :
Sylvain Levrouw
Supervision graphique et direction éditoriale :
Jérôme Dittmar
Collection :
Everglades #6
Diffusion et distribution :
Cedif / Pollen
Livre publié avec le soutien :
du Centre National du Livre, du Centre National du Cinématographe et de l’image animée, et de La Région Auvergne Rhône-Alpes
Sortie :
12 juin 2025
Prix :
22€
ISBN :
978-2-491961-11-4
Format:
Dimensions : 130 x 195
_208p
_Couverture rabat
_Sous-couverture imprimée Pantone
_Tranche colorée noir (jaspage)
_Imrpression deux couleurs Pantone bleu orange + noir avec Color Library
_Papiers :
Couvertures : Munken Lynx, 240g + 200g
Intérieur : Munken Print White 18, 80g
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Le livre
Avant-gardiste, populaire, rebelle, provocateur, le cinéma japonais des années soixante-dix fut un tournant. À l’image d’Hollywood ou de Cinecittà, une boîte de Pandore s’est alors ouverte pour des films qui n’ont plus peur de tout voir et d’afficher leur soif de liberté dans un monde en ébullition. Tandis que l’Amérique voit surgir le Nouvel Hollywood en réponse aux idéaux libertaires de l’époque, le Japon rentre dans une nouvelle ère, loin des valeurs polies et des conventions qui brident une société qui ne tolère pas les clous qui dépassent.
C’est cette histoire que raconte Soleil Rouge, le premier livre consacré aux marginaux, aux déclassés, aux énervés, à toutes les dites anomalies qui ont peuplé ce cinéma qui, durant plus d’une décennie, des années soixante au début des années quatre-vingts, n’a cessé de se réinventer en bousculant les codes, les genres et les identités. Film de sabre, d’espionnage, de yakuzas, de tireurs d’élite, de gangs féministes, de prisonnières vengeresses et de corps troublants sondant au plus loin les fantasmes d'un pays en plein bouleversement socio-économique, cette révolution passe le plus souvent par un cinéma commercial construit au plus près des désirs de son public. Un cinéma du peuple, parfois malfamé et violent ; tantôt génial, brûlant, expérimental, libérateur, anar et puis soudain conservateur ou patriotique. Un cinéma où les plus grands cinéastes de l’époque se côtoient parfois pour un ultime tour de piste avant de se faire écraser par la boule à facette d’un capitalisme d’où sortiront une galerie d’idoles le regard perdu dans le vide.
L’auteur
Journaliste et critique, ex-membre des Cahiers du cinéma spécialisé dans les cinémas venus d’Asie, Stéphane du Mesnildot est l’auteur de Fantômes du cinéma japonais (Rouge Profond, 2011), Memories of Murder, l’enquête (La Rabbia, 2018) ou encore Cérémonies : Au coeur de L’Empire des sens (Le Lézard Noir, 2021, Prix du meilleur livre de cinéma). Il a également été commissaire pour différentes expositions au musée du Quai Branly.
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L’édition
Abondamment illustré, le livre est un véritable hommage graphique à cette période qui se réinvente dans l’art du collage et un style criard. Pour cette édition, nous avons poussé d’un cran la conception de la collection Everglades. Habituellement imprimée en bichromie, l’intérieur a cette fois été imprimé avec un profil deux couleurs (orange et bleu) dont le rendu unique retrouve le parfum de toute une époque. Les lecteurs habitués de nos livres comme Vigilante, Speed Racer ou Jim Carrey apprécieront.
Ce rendu, c’est aussi la couverture, dont tous les aspects, première, dernière, intérieur, ont été pensés et conçus par Gaspar Capac des éditions Biceps, qui pour Façonnage a conçu une couverture sur mesure et dans l’esprit des magazines japonais des années soixante-dix. Le tout imprimé sur les bons papiers, enrobé d’un jaspage noir du plus bel effet et mis en page par notre directeur artistique, Sylvain Levrouw.
Avant-gardiste, populaire, rebelle, provocateur, le cinéma japonais des années soixante-dix fut un tournant. À l’image d’Hollywood ou de Cinecittà, une boîte de Pandore s’est alors ouverte pour des films qui n’ont plus peur de tout voir et d’afficher leur soif de liberté dans un monde en ébullition. Tandis que l’Amérique voit surgir le Nouvel Hollywood en réponse aux idéaux libertaires de l’époque, le Japon rentre dans une nouvelle ère, loin des valeurs polies et des conventions qui brident une société qui ne tolère pas les clous qui dépassent.
C’est cette histoire que raconte Soleil Rouge, le premier livre consacré aux marginaux, aux déclassés, aux énervés, à toutes les dites anomalies qui ont peuplé ce cinéma qui, durant plus d’une décennie, des années soixante au début des années quatre-vingts, n’a cessé de se réinventer en bousculant les codes, les genres et les identités. Film de sabre, d’espionnage, de yakuzas, de tireurs d’élite, de gangs féministes, de prisonnières vengeresses et de corps troublants sondant au plus loin les fantasmes d'un pays en plein bouleversement socio-économique, cette révolution passe le plus souvent par un cinéma commercial construit au plus près des désirs de son public. Un cinéma du peuple, parfois malfamé et violent ; tantôt génial, brûlant, expérimental, libérateur, anar et puis soudain conservateur ou patriotique. Un cinéma où les plus grands cinéastes de l’époque se côtoient parfois pour un ultime tour de piste avant de se faire écraser par la boule à facette d’un capitalisme d’où sortiront une galerie d’idoles le regard perdu dans le vide.
L’auteur
Journaliste et critique, ex-membre des Cahiers du cinéma spécialisé dans les cinémas venus d’Asie, Stéphane du Mesnildot est l’auteur de Fantômes du cinéma japonais (Rouge Profond, 2011), Memories of Murder, l’enquête (La Rabbia, 2018) ou encore Cérémonies : Au coeur de L’Empire des sens (Le Lézard Noir, 2021, Prix du meilleur livre de cinéma). Il a également été commissaire pour différentes expositions au musée du Quai Branly.

L’édition
Abondamment illustré, le livre est un véritable hommage graphique à cette période qui se réinvente dans l’art du collage et un style criard. Pour cette édition, nous avons poussé d’un cran la conception de la collection Everglades. Habituellement imprimée en bichromie, l’intérieur a cette fois été imprimé avec un profil deux couleurs (orange et bleu) dont le rendu unique retrouve le parfum de toute une époque. Les lecteurs habitués de nos livres comme Vigilante, Speed Racer ou Jim Carrey apprécieront.
Ce rendu, c’est aussi la couverture, dont tous les aspects, première, dernière, intérieur, ont été pensés et conçus par Gaspar Capac des éditions Biceps, qui pour Façonnage a conçu une couverture sur mesure et dans l’esprit des magazines japonais des années soixante-dix. Le tout imprimé sur les bons papiers, enrobé d’un jaspage noir du plus bel effet et mis en page par notre directeur artistique, Sylvain Levrouw.